Des visiteurs dans le Pavillon Pierre Lassonde // Photo : MNBAQ, David Cannon
Le Musée
Le Musée national des beaux-arts du Québec est la mémoire vivante de l’art et des artistes du Québec.
Des visiteurs dans le Pavillon Pierre Lassonde // Photo : MNBAQ, David Cannon
Le Musée national des beaux-arts du Québec a pour fonctions de faire connaître, de promouvoir et de conserver l’art québécois de toutes les périodes, de l’art ancien à l’art actuel, et d’assurer une présence de l’art international par des acquisitions, des expositions et d’autres activités d’animation.
(Loi sur les musées nationaux, RLRQ, chapitre M-44)
Notre raison d’être
Reconnu ici et partout à travers le monde, notre Musée rejoint tous les publics.
Guidés par l’objectif de rassembler autour de l’art, nous enrichissons la collectivité en jetant un regard pertinent sur le monde.
Grâce à des approches novatrices, nous créons des expériences distinctives pour les personnes curieuses et initiées. Ce que nous vous offrons, c’est une rencontre avec l’art et le beau qui interpellera aussi vos émotions et vos sens.
Avec une riche collection de plus de 42 000 œuvres, réalisées depuis le 17e siècle jusqu’à ce jour, notre Musée développe le savoir et les connaissances autour de trois axes :
Toutes nos réalisations sont synonymes d’excellence. Nous visons haut dans tout ce que nous entreprenons en repoussant sans cesse les limites.
Engagés dans la réussite du Musée, nous embrassons tous les défis qui s’y rattachent. La somme des implications individuelles nous permet d’atteindre nos objectifs collectifs.
Pour offrir une expérience muséale mémorable, nous misons sur l’innovation. L’audace et la créativité stimulent nos expérimentations, véritables sources d’apprentissage et d’amélioration continue. Le changement se vit toujours avec ouverture et flexibilité.
Nous envisageons l’expérience muséale en nous ouvrant à l’autre, en considérant son ressenti et ses émotions. Cette approche favorise une connexion unique stimulée par l’écoute et le respect mutuel.
De 1920 à aujourd’hui, découvrez les grands moments de notre Musée, la première institution muséologique créée par le gouvernement provincial.
Création d’une collection de beaux-arts, dont les premières acquisitions feront partie du futur Musée de la Province, la première institution muséologique créée par le gouvernement provincial.
À l’été 1927 s’amorce la construction du Musée de la Province sur le site du parc des Champs-de-Bataille, le premier édifice de la cité muséale actuelle.
Le 5 juin a lieu l’inauguration officielle du Musée de la Province, un bâtiment de style néo-classique de l’architecte Wilfrid Lacroix. À l’époque, le Musée abrite les Archives de la province et des salles d’histoire naturelle et des beaux-arts.
Une rétrospective est consacrée à un pionnier de l’art québécois du 19e siècle, le peintre Théophile Hamel.
L’artiste Alfred Pellan revient de Paris, l’exposition du jeune moderne fait réagir.
On présente une rétrospective d’un peintre paysagiste du Québec, Clarence Gagnon.
Avec trois autres institutions muséales, le Musée de la Province de Québec organise une rétrospective consacrée à la peinture canadienne : Le développement de la peinture au Canada 1665-1945.
Avec l’exposition Femina, le Musée met en lumière sept femmes artistes : Sylvia Daoust, Simone Dénéchaud, Suzanne Duquet, Claire Fauteux, Agnès Lefort, G. Paige Pinneo et Marion Scott.
Ozias Leduc, un peintre précurseur du Québec, est célébré par l’entremise d’une rétrospective.
Don marquant provenant de la collection personnelle de l’ancien chef du gouvernement, Maurice Duplessis. Soixante-six œuvres enrichissent la collection du Musée, dont des Corot, Boudin et Krieghoff.
Construction d’une annexe, un ajout de quatre étages pour aménager des salles d’exposition, une bibliothèque et de nouveaux bureaux.
Le Musée de la Province de Québec devient le Musée du Québec. Les collections de sciences naturelles quittent le Musée pour faire place à plus d’objets d’art. Alors ministre d’État chargé des Affaires culturelles, l’écrivain, résistant et intellectuel français André Malraux visite le Musée du Québec.
L’exposition Les Trésors de Toutankhamon, présentant des chefs-d’œuvre d’Égypte, fait courir les foules. En mai, durant la nuit, un audacieux cambriolage est commis au Musée du Québec. Une longue enquête suivra. Les 28 œuvres volées seront retrouvées en 1969 sans trop de dommage.
Pour célébrer les 80 ans du peintre paysagiste et moderniste John Lyman, le Musée organise une rétrospective. Deux années d’affilée, le Musée dépasse le cap des 300 000 visiteurs et visiteuses.
Une première rétrospective est consacrée à Jean Paul Riopelle, un artiste au style lié à certains des plus importants courants de son temps.
Deux ans après son décès, une rétrospective est consacrée au peintre Jean Dallaire, le rêveur insoumis.
L’extravagante Madame Belley entre au Musée. Les costumes et les photographies de celle qui est de toutes les manifestations culturelles de Québec - parée des tenues et de bijoux qu’elle fabrique - s’imposent dans la rotonde.
Les tapisseries de la maître lissière Mariette Rousseau-Vermette sont à l’honneur dans une rétrospective.
La Galerie de l’Anse-aux-Barques, la galerie du Musée qui s’installe à Place Royale, offre une tribune de choix aux jeunes artistes.
Annonce d’un agrandissement qui prévoit la réorganisation des espaces de l’édifice originel, la restauration de l’ancienne prison des plaines d’Abraham et la construction d’un bâtiment de liaison entre les deux.
Les Archives nationales du Québec sont déplacées à l’Université Laval.
Pour son 50e anniversaire, le Musée propose une exposition qui célèbre 50 années d’acquisitions.
La Loi sur les musées nationaux transforme le Musée du Québec en société d’État. Sa collection est désormais consacrée uniquement aux œuvres d’art. Sa Sainteté le pape Jean-Paul II visite le Musée et découvre une importante exposition d’art religieux : Le Grand Héritage.
La rénovation et la mise aux normes muséologiques modernes impliquent la fermeture et la réouverture du Musée. En 1986, l’exposition Tableaux de maîtres français impressionnistes et postimpressionnistes de l’Union soviétique attire 135 000 visiteurs et visiteuses en six semaines.
Le Musée entreprend d’importants travaux d’agrandissement, dont l’ajout d’un pavillon d’accueil et l’intégration de l’ancienne prison de Québec.
Acquisition du fonds d’archives de la famille Hébert, regroupant 1 486 œuvres d’art et un imposant fonds d’archives lié à cette famille d’artistes de renom : Louis-Philippe Hébert et ses deux fils, Henri et Adrien.
Inauguration officielle d’un nouveau Musée, qui compte désormais trois pavillons dans lesquels sont répartis 13 salles d’exposition, des réserves, différents ateliers, un auditorium, un restaurant et une boutique.
Une rétrospective, en guise d’hommage posthume, est consacrée à un artiste incontournable de l’histoire de l’art du Québec, Jean Paul Lemieux.
Création d’un jardin de sculptures, qui comprend des œuvres de grand format, produites par des artistes québécois et internationaux. L’artiste Alfred Pellan à l’honneur dans une ambitieuse rétrospective organisée dans un esprit collaboratif.
Le Musée acquiert la fresque monumentale de Jean Paul Riopelle L’Hommage à Rosa Luxemburg. Le Musée la présente pour la première fois en 2000.
Les œuvres du Groupe des Sept et des paysagistes du Québec sont réunies pour la première fois au Musée. L’art éclaté et multiforme de l’artiste Charles Daudelin est mis en lumière dans une exposition.
L’exposition Rodin à Québec fracasse un record d’affluence en attirant près de 525 000 personnes au cours des 103 jours de présentation.
Une grande rétrospective consacrée à Cornelius Krieghoff, fameux peintre canadien du 19e siècle, de retour dans sa ville bien-aimée.
Le Musée brille de mille feux grâce au plan lumière de la Commission de la capitale nationale du Québec. Une première rétrospective consacrée à celui qu’on a qualifié de « sculpteur national », Louis-Philippe Hébert, est présentée au Musée.
L’art d’un virtuose, Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté, est revisité à travers une exposition majeure. L’adoption du projet de loi nº 125 par l’Assemblée nationale permet notamment au Musée du Québec d’adopter le nom de Musée national des beaux-arts du Québec.
Présentation d’une exposition de l’artiste Rita Letendre, qui profite de l’occasion pour faire don de 23 peintures et de 78 œuvres sur papier, signe d’une amitié indéfectible avec le Musée.
Don important d’une soixantaine d’œuvres d’art contemporain par les mécènes Patrice et Andrée Drouin.
Le collectionneur Raymond Brousseau, grâce à la participation financière d’Hydro-Québec, donne sa collection d’art inuit unique au monde, constituée de 2 635 œuvres. Camille Claudel et Rodin la rencontre de deux destins, une exposition internationale remarquable arrive au Musée.
Deux rétrospectives pour deux maîtres de la lumière Fernand Leduc et Clarence Gagnon. Le Musée fait une acquisition majeure en photographie : la collection Yves Beauregard qui compte 3 550 pièces. Les gouvernements du Canada et du Québec annoncent leur participation financière à un nouveau projet d’agrandissement du Musée national des beaux-arts du Québec.
Une nouvelle exposition internationale se distingue L’univers baroque de Fernando Botero.
Une année d’effervescence pour les 75 ans du Musée! À l’occasion du 400e anniversaire de la ville de Québec, le Musée présente l’exposition Le Louvre à Québec, coproduite par le plus prestigieux musée français. Quelque 465 000 personnes visitent l’exposition.
Lancement du concours international d’architecture pour la réalisation d’un nouveau pavillon au Musée national des beaux-arts du Québec. Deux expositions offrent de nouvelles perspectives sur l’art québécois : Femmes artistes. La conquête d’un espace, 1900-1965 et Le nu dans l’art moderne canadien, 1920-1950.
À l’issue du concours international d’architecture, le concept de la firme OMA (Office for Metropolitan Architecture), en partenariat avec la firme Provencher_Roy, est retenu pour le futur agrandissement du Musée.
Le legs de Madeleine P. Pelland, comptant 1 630 œuvres et objets d’art ainsi qu’un fonds d’archives majeur, fait du MNBAQ le lieu de référence pour l’œuvre de son mari, l’artiste Alfred Pellan. Deux chantiers de recherche exceptionnels, sur les artistes Marc-Aurèle Fortin et Napoléon Bourassa, donnent lieu à deux expositions remarquables.
Les travaux d’excavation du futur pavillon Pierre Lassonde débutent. Les connaissances en art du Québec évoluent à travers deux expositions importantes : Mode et apparence en art du Québec 1880-1945 et Les arts en Nouvelle-France.
Nouvelle étape déterminante pour le Musée : la mise en chantier de la construction du pavillon Pierre Lassonde après un coup d’envoi marquant. L’historien de l’art, Michel Lessard, fait don d’une collection de plus de 700 documents photographiques exceptionnels au Musée. Le Prix en art actuel du MNBAQ est créé grâce à la Fondation RBC.
Le pavillon Charles-Baillairgé devient un écrin pour quatre figures de l’art moderne québécois : Jean Paul Lemieux, Fernand Leduc, Alfred Pellan et Jean Paul Riopelle.
Le chanteur rock Bryan Adams s’arrête à Québec et parcourt l’exposition présentant ses œuvres au Musée à l’occasion de la Saison photo au MNBAQ. Le Musée illumine le Quartier des arts et collabore à la création du parcours Lumière sur l’art, 34 abat-jour géants, sur l’avenue Cartier, présentant des œuvres de Fernand Leduc et d’Alfred Pellan.
Le 24 juin 2016 est l’inauguration officielle du nouveau pavillon Pierre Lassonde. Le bâtiment fait le pont entre l’art, la ville et la nature. Il met en valeur les collections de 1960 à ce jour, les salles d’art inuit, d’arts décoratifs et de design, en plus d’offrir une expérience architecturale distinctive. Plus de 31 000 personnes participent aux célébrations d’ouverture étalées sur trois jours.
Début des travaux d’actualisation du pavillon Gérard-Morisset, édifice à l’origine de la cité muséale du MNBAQ. L’art du Québec rayonne dans tout le complexe muséal avec les expositions : Le Temps file. La vanité dans la collection du MNBAQ, Le fabuleux destin des tableaux des abbés Desjardins et Mitchell/Riopelle. Un couple dans la démesure.
Réouverture du pavillon Gérard-Morisset et redéploiement des collections d’art ancien et moderne à l’occasion du 85e anniversaire du Musée. L’exposition 350 ans de pratiques artistiques au Québec en met plein la vue. Berthe Morisot et Alberto Giacometti sont les artistes internationaux à l’honneur dans le pavillon Pierre Lassonde. Marcel Barbeau. En mouvement, une rétrospective incontournable prend l’affiche.
L’exposition Miró à Majorque. Un esprit libre se classe au deuxième rang du palmarès des expositions d’art les plus fréquentées au Canada en 2019.
Une année sous le signe de l’adaptation : la pandémie de Covid-19 force la fermeture préventive du Musée à plusieurs reprises, bouleversant le calendrier des expositions pour plusieurs années. L’exposition Frida Kahlo, Diego Rivera et le modernisme mexicain connaît un grand succès en dépit des restrictions sanitaires. Les fermetures prolongées permettent un virage numérique spectaculaire entrepris depuis plusieurs années. Dans la foulée, le MNBAQ lance sa plateforme pédagogique L’art dans ma classe.
Deux expositions consacrées à deux icônes de l’histoire de l’art mondiale – J. M. William Turner et Pablo Picasso – suscitent un grand intérêt du public. En décembre, le gouvernement du Québec annonce sa participation financière à la création de l’Espace Riopelle, un nouveau pavillon consacré aux œuvres du peintre Jean Paul Riopelle, qui verra le jour grâce à la Fondation Riopelle ainsi qu’à un don majeur d’œuvres des mécènes Michael J. Audain et Pierre Lassonde.
Collectionneurs et mécènes, Michael J. Audain et Yoshiko Karasawa, donnent huit tableaux exceptionnels de Paul-Émile Borduas au Musée. Ces œuvres, d’une valeur artistique inestimable, font partie des plus importantes donations au MNBAQ. Vers le futur Espace Riopelle : la firme Les Architectes FABG est lauréate du concours d’architecture. Les pavillons Gérard-Morisset et Charles-Baillairgé ferment leurs portes au printemps afin de permettre la tenue des travaux préparatoires avant le début de la construction de l’Espace Riopelle. Evergon. Théâtres de l’intime, une grande rétrospective est consacrée à ce pionnier de la photographie canadienne.
De Rembrandt à Alexander McQueen en passant par les artistes canadiens des collections de la famille Sobey, des expositions rayonnent dans le pavillon Pierre Lassonde.
Au printemps, c’est le coup d’envoi officiel des travaux de construction du futur Espace Riopelle. Helen McNicoll. Un voyage impressionniste et Premiers jours. Œuvres autochtones de la Collection McMichael d’art canadien, l’art canadien brille au Musée.
Après-midi d'avril, 1920 // Photo : MNBAQ, Denis Legendre
Autoportrait dans l'atelier, vers 1849 // MNBAQ, Jean-Guy Kérouac
Alfred Pellan, Henri Groulx et Paul Rainville, 1940. Université du Québec à Montréal, Service des archives et de gestion des documents, fonds Alfred Pellan (131P-010/58) // Photographie de source inconnue
Scène dans le Derbyshire. Les Hauteurs d’Abraham, Matlock Bath, 1827 ou avant // Photo : MNBAQ, Denis Legendre
Hugh MacLennan, 1946 // Photo : MNBAQ, Idra Labrie
© Succession Jean Paul Riopelle / CARCC Ottawa 2025
© Succession Mariette Rousseau-Vermette
© Succession Jean Paul Riopelle / CARCC Ottawa 2025
Esther Trépanier // MNBAQ, Idra Labrie
Shohei Shigematsu; John R. Porter; Pierre Lassonde // MNBAQ, Idra Labrie
Legs Pellan // MNBAQ, Idra Labrie
Lancement du chantier du Pavillon Pierre Lassonde // Photo : MNBAQ, Idra Labrie
Coup d’envoi officiel du chantier de construction du pavillon Pierre Lassonde // Photo : Gilles Fréchette
Quatre figures de l'art moderne au Québec // Photo : MNBAQ, Idra Labrie
Lumière sur l'art © Succession Alfred Pellan / CARCC Ottawa 2025 // MNBAQ, Idra Labrie
Pavillon Pierre Lassonde // Photo : MNBAQ, Idra Labrie
Les arts en Nouvelle-France // MNBAQ, Idra Labrie
Marcel Barbeau : en mouvement © Succession Marcel Barbeau // MNBAQ, Idra Labrie
Miro à Majorque // Photo : MNBAQ, Idra Labrie
Frida Kahlo, Diego Rivera et le modernisme // Photo : MNBAQ, Idra Labrie
Picasso Figures // Photo : MNBAQ, Idra Labrie
Evergon. Théâtres de l'intime © Evergon // MNBAQ, Idra Labrie
Alexander McQueen. L'art rencontre la mode // MNBAQ, Denis Legendre
Coup d'envoi du chantier du futur Espace Riopelle // Photo : Stéphane Bourgeois
Le Musée national des beaux-arts du Québec écrit une nouvelle page de son histoire avec la création du futur Espace Riopelle : un pavillon dédié à Jean Paul Riopelle intégré à la cité muséale. Pour soutenir ce projet de transformation, la Fondation du Musée a entrepris une grande campagne de financement à laquelle vous pouvez contribuer.
Maquette du futur Espace Riopelle // Photo : Les architectes fabg
Cité muséale au cœur du parc des Champs-de-Bataille, l’un des plus prestigieux au monde, notre Musée se distingue par la richesse de ses expériences. L’art, la nature et l’architecture sont au centre des aventures multiples que nous proposons.
Le Pavillon Pierre Lassonde // Photo : MNBAQ, Idra Labrie
Le Musée peut compter sur l’appui de 13 administrateurs et administratrices.
Un collectif qui fait briller notre cité muséale.
Notre procédure portant sur la réception et l’examen des plaintes.
Un endroit pour trouver tous documents stratégiques et de gouvernance.
Consultez les rapports antérieurs sur le site web de la BAnQ.
Un plan collectif inspiré par toute notre équipe et réalisable grâce à elle.
Inspirés par la transformation de notre cité muséale avec la construction du futur Espace Riopelle, nous avons modelé une nouvelle identité de marque fondée sur une affirmation forte : réunir autour de l’art.
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